*Depuis la dernière galette des rois chez Maud, la tour Notre Dame de profil dans le miroir et le rideau cramoisi, les soirées froides et dormir tard la veille des cours
*depuis les notes pas terribles, la tranchée un peu froide quand on continue à creuser et creuser, essayer d'apprendre la sérénité, et le détachement
finalement je crois que je commence à y arriver tout doucement, à comprendre peut être comment ça marche, ou alors, juste à comprendre que je ne suis pas formatée pour ça et que je suis trop brouillonne et naïve, mais que, nouveauté, ça ne me dérange pas. Et je veux fonder ma vie là dessus. IL FAUT FAIRE LES CHOSES, comme dirait l'autre.
Troublée de lire ça aussi sur le blog de Julie, pourtant trajectoires divergentes, peut être finalement qu'on se rejoint sur l'essentiel, le refus des angoisses qui polluent le temps de l'insouciance et des dernières puretés de l'enfance qui se barre vite. C'est très très mal écrit tout ça...Tant pis j'ai juste envie
Piteur's friends, dont l'album est aussi joli que le film riche et profond auquel il fait allusion, dans l'oreille, je me laisse bercer tout doucement. Moi j'aime bien encore m'accrocher à la voix de Pauline au téléphone le soir qui lit des contes, et aux berceuses qui vont à l'avenant, aux pulls moutarde de P et au reste, tout le reste et ceux qui restent, et pour longtemps j'espère.
finalement je crois que je commence à y arriver tout doucement, à comprendre peut être comment ça marche, ou alors, juste à comprendre que je ne suis pas formatée pour ça et que je suis trop brouillonne et naïve, mais que, nouveauté, ça ne me dérange pas. Et je veux fonder ma vie là dessus. IL FAUT FAIRE LES CHOSES, comme dirait l'autre.
Troublée de lire ça aussi sur le blog de Julie, pourtant trajectoires divergentes, peut être finalement qu'on se rejoint sur l'essentiel, le refus des angoisses qui polluent le temps de l'insouciance et des dernières puretés de l'enfance qui se barre vite. C'est très très mal écrit tout ça...Tant pis j'ai juste envie
Piteur's friends, dont l'album est aussi joli que le film riche et profond auquel il fait allusion, dans l'oreille, je me laisse bercer tout doucement. Moi j'aime bien encore m'accrocher à la voix de Pauline au téléphone le soir qui lit des contes, et aux berceuses qui vont à l'avenant, aux pulls moutarde de P et au reste, tout le reste et ceux qui restent, et pour longtemps j'espère.
1 commentaire:
:)
Contente de te voir de retour, pour longtemps, j'espère.
Et si... si tes concours marchent vraiment pas, comme j'ai peine à la croire, t'as trop de talent pour que personne ne s'en aperçoive. Je suis toujours intimement persuadée que tu iras très loin...
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