dimanche 31 janvier 2010

Bright Star



Evidemment c'est une histoire d'amour, une histoire de frôlements, de désir et de frustration, d'appétit de vie contrarié et d'émotions énormes et éphémères. Et c'est en même temps tellement profondément une vie dans un fauteuil. Qui vous remue et vous énergise. Pour le reste, allez voir, ce sont des choses qui gagnent à se vivre plus qu'à se dire.
Mention spéciale à l'orchestre humain, au réveillon de Noël à l'écossaise, et à tout le reste du film en fait.

mercredi 27 janvier 2010

Dyptique.




Le retour II







Joli bout de soirée







*Depuis la dernière galette des rois chez Maud, la tour Notre Dame de profil dans le miroir et le rideau cramoisi, les soirées froides et dormir tard la veille des cours



*depuis les notes pas terribles, la tranchée un peu froide quand on continue à creuser et creuser, essayer d'apprendre la sérénité, et le détachement
finalement je crois que je commence à y arriver tout doucement, à comprendre peut être comment ça marche, ou alors, juste à comprendre que je ne suis pas formatée pour ça et que je suis trop brouillonne et naïve, mais que, nouveauté, ça ne me dérange pas. Et je veux fonder ma vie là dessus. IL FAUT FAIRE LES CHOSES, comme dirait l'autre.
Troublée de lire ça aussi sur le blog de Julie, pourtant trajectoires divergentes, peut être finalement qu'on se rejoint sur l'essentiel, le refus des angoisses qui polluent le temps de l'insouciance et des dernières puretés de l'enfance qui se barre vite. C'est très très mal écrit tout ça...Tant pis j'ai juste envie
Piteur's friends, dont l'album est aussi joli que le film riche et profond auquel il fait allusion, dans l'oreille, je me laisse bercer tout doucement. Moi j'aime bien encore m'accrocher à la voix de Pauline au téléphone le soir qui lit des contes, et aux berceuses qui vont à l'avenant, aux pulls moutarde de P et au reste, tout le reste et ceux qui restent, et pour longtemps j'espère.